La femelle a gardé ses caractères larvaires ; cela s'appelle la néoténie.
La femelle est plus facile à voir que le mâle, grâce à la bioluminescence.
Seuls les juilletistes noctambules peuvent la voir.
Plus rare encore est l'observation des accouplements.
Le 21 juillet 2022, vers 23h15, j'ai été surpris de voir un ver luisant écrasé sur la route, et même totalement aplati, qui brillait encore.
La bioluminescence continuerait donc après la mort.
Photographiés à la Ferrière-Bochard (Orne), le 6 juillet 2024 vers 23h
Chez les lampyres, c'est elle qui luit.